Où sommes nous (normalement) ?

Où sommes nous (normalement) ?
Voici le trajet que l'on a prévu mais sujet à modifications...

lundi 5 octobre 2009

C'est parti!

Voilà, maintenant ça se passera par là pour moi :

http://thewombatgirl.blogspot.com/

Peut-être que Jean-Marc vous donnera des nouvelles ici (ceci est une petite blague), mais plus moi.

J'avais déjà un blog avant de partir. Ce que j'aime c'est que contrairement à quand tu parles, écrire te donnes le temps de réfléchir, de reformuler, et de faire cela quand tu en as envie où que tu en as l'inspiration, et pas sous la pression. Du coup, c'est peut-être moins spontané, mais ça permet d'écrire ce que tu veux réellement dire. Bien sûr, c'est devenu une de mes drogues de voyage au même titre que la photo.

Et au même titre que la photo ça modifie un peu ta façon de voir les choses. Quand tu prends tout le temps des photos, tu cadres ce que tu vois malgré toi et ta vision s'en trouve déformée. C'est une habitude dont tu ne te débarassses pas. Et voyager sans ton appareil devient inconcevable, puisque même quand tu ne l'as pas tu penses à ce que tu aurais pu faire avec. Le blog c'est pareil. Avec le temps, les événements ont pris une autre signification. Une aventure malheureuse devenait un bon sujet de blog, un hôtel pourri ou une mauvaise rencontre se transformait en paragraphe potentiellement comique. Bref je suis devenue contente qu'il m'arrive des histoires pas drôles ou bizarres, et je jubilais à l'idée de les raconter, réfléchissant à l'avance à mon texte. Quand rien d'exceptionnel n'arrivait, il me fallait juste un peu plus d'imagination pour écrire le blog, Attention, n'allez pas croire que je pipotte, mais de temps en temps il faut savoir sur quoi insister pour garder ses lecteurs fidèles.

Et puis l'avantage du blog c'est que, normalement, personne en rentrant ne te demande "Alors, c'était comment?". Sûrement une des choses que j'ai toujours le plus redouté depuis que je suis ado et que je pars à l'étranger avec mes parents. Les deux ou trois premiers jours où tu reviens d'un voyage, tu essayes de faire durer ton rêve le plus longtemps possible, le reste n'existe pas encore. Quand on te demande d'en parler, ça te rappelle que c'est le passé et qu'il faut revenir sur Terre.

Il faut croire que je n'ai pas raconté assez de trucs en 11 mois parce que tout le monde m'a posé la question...

En tout cas merci d'avoir suivi le blog de plus en plus nombreux, merci pour tous vos compliments, merci à Aurélia d'avoir dit que quand elle lisait le blog elle avait l'impression de m'entendre parler (et elle en sait quelque chose, on commence à avoir passé beaucoup de temps à voyager toutes les deux), c'était le meilleur compliment du monde, merci à mes collègues pour leurs encouragements, et merci à "Nath la Tata de La Gaude" d'avoir écrit la moitié des commentaires... Au moins!

jeudi 1 octobre 2009

Premier jour.

Aujourd'hui c'était mon premier jour de boulot. Et c'était moins pire que prévu. Les gens étaient presque aimables. Et moi aussi.

Depuis la dernière fois je suis revenue à Paris, après avoir laissé Mamiane en larme sur le quai de la gare, pour changer un peu.

J'ai commencé à reprendre les habitudes désagréables du sédentarisme (passer 4 heures à essayer de synchroniser mon téléphone avec mon ordinateur, ce fut loupé, faire la queue à la RATP pour avoir une carte de transport, envoyer mon chèque aux impôts, téléphoner à divers endroits pour régler divers problèmes), mais j'ai repris aussi mes bonnes habitudes. J'ai enfin pu retourner chez "Prosper" manger une salade avec Caro (mais la "Salade du Buron" n'existe plus à mon plus grand désespoir), j'ai utilisé ma carte UGC, et eu plus de trucs appétissants en 6 jours dans mon assiette qu'en 3 mois à l'autre bout du monde...

Il y a des choses pour lesquelles la réadaptation est difficile. A commencer par des choses toutes simples comme mettre des chaussures qui ne sont pas de chaussures de marche. J'ai des ampoules. Et sans faire de randonnée, c'est un peu rageant. Il faut aussi s'habituer à être dans le métro sans être un touriste, c'est tout de suite moins drôle. Et arrêter de chercher les dollars ou tout autre monnaie dans son porte-feuille.

J'essaye quand même de faire semblant que je ne suis pas complètement rentrée. Je présente mon passeport au lieu de ma carte d'identité, chez Aurélia j'ai dormis sur le canapé et je vais peut-être continuer, je transporte ma valise (de chez mes parents, à chez Mamiane, à chez Aurélia, à chez mes parents...), je dis merci et pardon en anglais, je fais mes comptes sur mon Ipod en notant mes dépenses de nourriture.

Aurélia m'a laissé son appartement pendant 15 jours pendant qu'elle travaille au large. En attendant que je récupère mon appartement. Il faudrais que j'appelle pour savoir quand je vais l'avoir. Mais je ne suis pas sûre d'avoir envie, parce que pour l'instant j'ai encore l'impression de voyager un peu. Enfin un peu seulement parce que l'appart d'Aurélia est rempli avec mes meubles... et même une bonne partie de mes bouquins d'architecture, de photos et de voyages qu'elle a gardé en mon absence. Je suis déjà à moitié chez moi.

Un jour il va falloir que je dise au revoir à ce blog, parce que plus personne ne le lira. Le truc c'est que j'en ai trop pris l'habitude. Je pense que je vais sûrement en ouvrir un autre, rien que pour le plaisir de pouvoir râler de temps en temps en écrivant.
Sauf que je ne pourrai plus me moquer des Allemands dans les auberges de jeunesses, ou des coutumes bizarres des pays où je vais. Et donc je vais être obligée de me moquer de ce que j'ai sous la main : mes collègues, ma famille et mes amis. Donc finalement je ne pourrai donner l'adresse du blog à personne je suppose....

Je vais me coucher, demain je commence encore tôt.

J'attends le dernier message de Russell pour clôturer le blog. Et oui, je ne devrais sûrement pas le révéler mais il s'est fait kidnapper à Boston (quand j'étais à Nexport avec Sophie et Doudou) et il paraitrait qu'il à fait des photos...

samedi 26 septembre 2009

J'en jubile d'avance!

Petit rattrapage photographique aujourd'hui. Je suis en train de trier mes photos depuis la Malaisie, j'en profite pour vous mettre quelques photo du séjour à Boston, journées particulièrement belle vous en conviendrez. Et encore une ville américaine à mettre dans la liste des villes très plaisantes.

Céline, Yohann et Doudou sont moyennement intéressés par la visite de Harvard. Il s'assoient au fonc de la classe.
Oui je sais, Harvard ça donne envie de reprendre les études...
Au fait, Yohann a acheté un superbe sweat-shirt, lui.

Le fameux T, le métro de Boston, qui traverse le Longfellow bridge. Petit message pour JM : une maison de ce genre me plairait assez... Pas besoin que ce soit aussi grand.
Beacon Hill, quartier huppé...
Mon écureuil préféré.
Le soleil se couche sur la Charles River, les Bostoniens sortent leurs bateaux et les sportifs d'Harvard viennent faire de l'aviron.




A part ça mon train n'a pas déraillé, mais Mamiane m'attendait en pleurant et l'appareil photo à la main à la gare d'Auray... Aujourd'hui on n'a rien fait, journée glandouille. Demain on sort en "ville".

Bien sûr j'ai tout à refaire dans le sens contraire de quand je suis partie : déménagement, reprendre tous les abonnements possibles et imaginables, etc. J'en jubile d'avance!!!
Donc demain je vais essayer de décoder les forfaits de téléphone portables, afin de pouvoir recevoir vos sms et me remémorer ce doux son que je n'ai presque pas eu le plaisir d'entendre pendant un an. J'en jubile d'avance!!!
Encore 6 jours de repos avant le boulot. Heureusement Papito m'a sorti ses boîtes de médicaments l'autre jour pour que je puisse me remettre dans le bain seulement 3 heures après mon aterrissage... M'en fou parce que reprendre le boulot : j'en jubile d'avance!!!!!!

jeudi 24 septembre 2009

Dommage!

Le premier avion n'a pas plongé.
Le deuxième non plus.
Et croyez moi ou non, quand à Reykyavik j'ai attendu mon avion pour Paris au milieu des Français j'aurai pas dis non à un petit accident.
La réalité m'a rattrapée juste là, entre la poubelle à droite, et mon sweat-shirt rouge Alaska qui a déjà l'air d'avoir trop voyagé posé sur le siège à gauche : je n'avais aucune envie de rentrer.
J'en ai même pleuré en me cachant derrière mon Ipod.

J'ai encore envie de pleurer en écrivant ce message, soyez indulgents les prochains jours, le retour en France est nettement plus dur que prévu.

J'ai envie d'appeler JM pour qu'il me dise que lui non plus ça va pas (c'est toujours plus facile à deux) mais il n'a pas de téléphone...

Peut-être que je peux encore compter sur le train demain. Des fois ils déraillent non?

Allez je rigole, je me consolerai avec Mamiane, l'air de la mer en Bretagne et les crêpes.

Everything beautiful is far away.

Aujourd'hui je me suis levée tard. J'ai fais mon sac en sachant que je ne l'étalerai pas demain dans une nouvelle auberge de jeunesse. J'ai fais mon dernier check-out. Je suis allée manger un dernier Clam chowder et un demi gâteau au chocolat que je n'ai pas pu finir parce que les parts américaines sont énormes. J'ai lu un bouquin au bord de l'eau. Il se déroule entre Harvard (où j'ai souvent traîné les derniers jours) et Khao San Road (où nous logions à Bangkok avec Aurélia). Étrange coïncidence. J'ai fais la sieste dans l'herbe d'un parc. J'ai bu le jus pamplemouse-raisin que je trouvais déjà au Japon et qui a goût de vacances. J'ai pris un dernier Chocolate Therapy Shake chez Ben & Jerry's (un jour il faudra que je vous explique pourquoi c'est bien de prendre une glace chez Ben & Jerry's et pas chez les concurrents). J'ai dis au revoir aux écureuils de Common Park que personne ne regarde... Et j'ai écris (ça fait du bien!).

Entre tout ça j'ai pensé aux gens qui partent aujourd'hui pour leur grand voyage. Je les envie, évidemment. Ils ont devant eux ce que j'ai derrière moi. Ils ne savent pas encore à quel point leur année va être exceptionnelle. Ils oscillent entre excitation et peur de l'inconnu. Je ferais tout pour être à leur place, même si je suis consciente que je ne pourrai jamais revivre cette journée puisque je l'ai déjà fait...

Quand ce message sera publié je serai dans l'avion qui me ramènera en France. Le jour que je redoute depuis le début et auquel j'osais à peine penser en espérant qu'il n'arrivera jamais est là. Je vais remettre les pieds en France.

Je vous ai raconté l'histoire de l'Allemand qui fait le tour du monde en vélo pendant 3 ans? Une semaine avant de rentrer chez lui, il se fait écraser en Nouvelle-Zélande. L'idée m'a traversé qu'il avait bien de la chance. Je vous dis ça au cas où un des mes avions ferait un plongeon...

Bref demain c'est la fin. Et c'est le début. D'un nouveau challenge qui m'attend.
Hier j'ai reçu un mail de Murielle, une collègue. Le titre était "Bon retour à la case départ". Ma première réaction a été de lui retourner un mail en lui disant que je n'avais pas l'impression de retourner à la case départ. Sauf que je me suis rappelé les règles du Monopoly : "Retournez à la case départ et prenez 20000 francs" (j'étais jeune la dernière fois que j'y ai joué).
Finalement l'expression est bien choisie. Je reviens au départ, plus riche. Uniquement mentalement soyons clairs.

J'ai appris plein de chose, j'ai rencontré des gens extraordinaires (ils se comptent sur les doigts de la main, rassurez vous), j'ai vu certains des plus beaux paysages du monde, j'ai eu des expériences hors du commun, j'ai fais plein de trucs pour la première fois de ma vie (sauter à l'élastique ou d'un avion, randonner seule et dormir dans une hutte, avoir un accident de voiture, etc), j'ai expérimenté la liberté totale.

Il y a juste un truc qui me stresse un peu (et JM aussi, on en discutait l'autre jour) : c'est de savoir que ça va être très facile d'oublier tout ce qu'on a appris, de retourner dans notre train-train quotidien, et de ne jamais appliquer les leçons que nous a offert notre voyage. Ça va être naturel de bosser de trop sans prendre le temps de faire ce qu'on aime à côté parce qu'on est fatigué, ça va redevenir naturel de refuser l'invitation à dîner d'amis parce qu'on préfère rester collés les fesses dans le fauteuil. Bientôt on ne se rendra peut-être même plus compte de notre chance d'avoir tout ce qu'on a, ou on recommencera à consommer deux fois plus que ce dont on a réellement besoin, on oubliera peut-être qu'on peut tout faire dans la vie si on s'en donne les moyens, on se mettra des barrières inutiles et on prendra le risque de redevenir ceux d'avant...

Ce n'est pas ce que je veux. Je veux ne jamais oublier que j'ai fais ce voyage, et je veux en appliquer les leçons en profitant de la vie tous les jours (ou presque puisque j'ai appris que même dans la plus sympathique des situations on peut avoir un coup de blues).

Je n'ai pas trouvé la clef du bonheur constant, je doute qu'elle existe, mais j'ai un bonne idée de comment agir pour arranger ma vie au mieux. Il me reste une chose à trouver ou à garder : de la volonté!

À la question "Est-ce que j'ai changé?", mes amis ont répondu pour moi (et JM) : NON mais nos caractères se sont affirmés et on a l'air mieux dans notre peau.

Et voilà, je suis désolée pour tout le monde, j'ai conservé tous mes défauts et vous pourrez en profiter dès mon retour : je suis toujours aussi bordélique (pourtant j'ai essayé), je dis toujours ce que je pense haut et fort et suis toujours aussi peu diplomate, j'aime encore plus la solitude, je suis toujours autant incapable de faire semblant d'aimer quelquechose ou quelqu'un quand ce n'est pas le cas, je suis toujours aussi bornée...
Et bizarrement (j'espérais que ce côte allait s'arranger en voyageant seule, mais non), j'ai toujours du mal à aller vers les gens et je suis toujours timide pour certaines choses, ou quand je ne connais pasun lieu. J'ai par exemple rarement mangé au resto seule, je trouvais toujours des raisons pour ne pas y entrer (trop de monde, pas assez, rien qui me donne envie sur la carte), alors que la seule vraie raison était que je n'osais pas en pousser la porte et me retrouver face à des inconus alors que d'aller au supermarché était beaucoup plus facile et impersonnel. Ceci-dit ça m'a permis d'économiser et de perdre quelques kilos... On ne va pas se plaindre!

Et pour abréger un peu, je finirai avec le fait que je suis super heureuse d'avoir fait ce que j'ai fais, un tout petit peu fière de moi aussi parce que je n'aurais jamais imaginé être capable de voyager seule avant de partir, et agréablement surprise de m'être rendue compte qu'on peut se sentir chez soit presque partout si on prend le temps d'apprivoiser les lieux.

Et ce n'est pas mon genre mais je vais en profiter pour remercier Jean-Marc et (indirectement) Sean Penn (pour son film "Into the wild") puisque sans eux, au lieu d'être dans l'avion du retour, je serais sûrement en train de me dire "Et si ..., et si..., et si..., je pourrais faire le tour du monde". Donc merci d'avoir changé, si ce n'est ma vie, au moins un an de ma vie et des dizaines d'années de souvenirs (sauf si l'avion s'écrase, je sais je suis trop drôle...).

P.S. : Je n'ai pas finis d'écrire, dans le prochain message je vous remercie tous (qu'est-ce qu'il faut pas faire pour garder ses lecteurs...). Et je crois que Russell a préparé un truc mais je ne suis pas sensée être au courant...

mercredi 16 septembre 2009

Cape Cod Kwassa Kwassa

Et voilà, après plusieurs plaintes, je vais finalement faire un petit résumé des deux dernières semaines.
Deux dernières semaines assez éprouvantes car nous nous sommes rendu compte que voyager à huit n'était pas drôle tous les jours, loin de là.
Et oui, on a tous nos caractères, nos opinions, nos envies, nos attentes... Et visiblement on était loin d'avoir tous les mêmes!

Commençons par un tour en photos :

- On a d'abord longé la côte pour remonter au nord de Boston.

Yohann est photogénique.
Le phoque aussi.

Sophie se repose loin de nous, je la comprends.
Samuel, toujours pareil à lui meme.


- Jusqu'à un phare :


Russell en profite pour faire une dernière photo avec un phare. Il précise que toutes les autres photos qui suivent ont des modèles nettement moins beaux que lui.


La preuve.

Par deux.

Par trois.


- Notre but etant d'arriver au Parc National d'Acadia, que l'on visitera en une journée et demi. La première demi-journée sera consacrée à la marche, la suivante au vélo.


Balade dans Acadia National Park.
Un ours essaye de m'attaquer a pattes armées.
Photo surréaliste au coucher du soleil.

On finit par arriver au phare, sans GPS... Exploit technique.

- Puis on a mis les pieds à Cape Cod. Avant cela on a fait l'ascension du Mont Washington. On en a bavé (froid, pluie, fin de chemin en grosses pierres) et on a rien vu puisqu'on était dans le brouillard. Heureusement avec Yohann on s'est consolés avec des oeufs-mayo au sommet.
Donc Cape Cod et ses chemins pour vélo plats, ses plages avec ses couchés de soleil rouges, ses ports de pêche, était bienvenu.

Cape Cod. Samuel joue avec le nouvel appareil qu'il a offert a Sébastien et que Sébastien ne peut jamais utiliser.
La preuve.


Yohann fait des pâtés...
Le soleil se couche derrière les mouettes.
La vie est belle.

- On a passé une superbe journée sur l'île de Nantucket, à pédaler encore.

Nantucket et l'un de ses phares.
Samuel et Sebastien se croient en vacances sur l'ile de Re.

Sconset, pas mal non?


- Bon, et puis on a un peu fait la cuisine aussi :






Alors finalement la vie à huit? Et ben imaginez vous un groupe de touristes qui a perdu son guide et qui doit se débrouiller tout seul...
Appelons nous a, b, c, d, e, f, g, et h. Précisons que Doudou n'est pas d, et que je ne suis pas e.
- a aime se coucher tard et se lever tard.
- b aime se coucher tard et se lever tôt.
- c, d, e, f aiment se coucher tôt et se lever tard.
- g aime se coucher tôt mais a tous les soirs des gens qui jouent aux cartes dans leur chambre jusqu'à deux heures du matin.
- h s'en fou.
- c, d et e aiment dormir avec la clim sur 18 degrés mais ne sont pas dans la même chambre.
- g veut 19 degrés.
- h et a veulent 25 degrés et sont dans la chambre de g. Pratique.
- b s'en fou.
- tous veulent faire un maximum de sport pour éliminer les calories accumulées aux restos, mais d et h ne peuvent pas tenir le rythme sans être morts.
- a préfère la marche.
- b préfère le vélo.
- c et f aussi mais trouvent que ça coûte trop cher.
- h préfère la voiture.
- les autres s'en foutent.
- a, e, et h aiment prendre des photos.
- les autres s'en foutent.
- c a la fièvre acheteuse et aime faire les magasins.
- d n'a plus d'argent.
- e a trop d'argent mais veut le garder.
- a et h ne veulent pas entrer dans un magasin.
- b veut bien faire un tour chez Gap quand même.
- g s'en fou.
- a est végétarien.
- b et h rêvent d'un bon steak grillé.
- c ne supporte pas les onions mais il n'y a que ça ici.
- d et f ne veulent pas manger dans des chaînes de restos mais il n'y a que ça ici.
- e s'en fou du moment qu'il mange.
- précisons que b et f cassent les pieds de tout le monde car ils veulent une glace Ben & Jerry's tous les jours.
Et enfin :
- a préfère faire la gueule entre 10 et 11 le matin.
- d fait la gueule toute la journée mais seulement à f, qui fait la tête à a le jeudi et b le mardi.
- e ne fait pas la gueule mais ça y ressemble.
- l'aprem c'est c qui prend le relais, suivi de d. Logique.
- à la fin de la journée b et h ont vu tout le monde faire la gueule, ça leur a tapé sur le cerveau. C'est plus fort qu'eux, ils font la tête aussi.

Bien évidemment toute ressemblance avec des personnes existantes est fortuite...

mardi 8 septembre 2009

Rattrapage vidéo.

Là, maintenat on est au bord d'un lac du New Hampshire à se faire griller des saucisses sur le barbecue...
En attendant notre retour, puisque Sam a amené son ordinateur, je vous mets en programmation pour aujourd'hui et pour demain des vidéos que j'ai faites en Malaisie et en Thaïlande.
Il y en pas mal, alors bon visionage.